• Auteur
  • Résultats concours 2016-2017
  • S’inscrire à la classe prépa option ECE – Pourquoi faire une CPGE ?
  • La Master Class – session 2017

Cours d'Economie, Sociologie et Histoire du monde contemporain – CPGE ECE Camille Vernet (Valence)

~ Le site de la prépa HEC

Cours d'Economie, Sociologie et Histoire du monde contemporain – CPGE ECE Camille Vernet (Valence)

Archives de Catégorie: Stratégies et soutenabilité du développement

Conséquences du réchauffement sur la biodiversité (Le Monde, 19 mai 2018)

19 samedi Mai 2018

Posted by Nicolas Danglade in Stratégies et soutenabilité du développement, Uncategorized

≈ Poster un commentaire

Une hausse de plus de 1,5 0C dévasterait la biodiversité
Une étude montre que limiter le réchauffement planétaire est un enjeu vital pour les animaux et les plantes
Hausse du niveau des mers, submersion des côtes, précipitations plus intenses… Pour l’ensemble du vivant, chaque degré de réchauffement – et même chaque demi-degré – est crucial. Un sujet dont s’empare Nicolas Hulot, le ministre de la transition écologique, qui présente, vendredi 18 mai à Marseille, des pistes pour tenter de mobiliser autour d’une biodiversité en danger qui mérite un  » sursaut d’indignation « .

Son annonce interviendra au lendemain de la publication dans la revue Science d’une étude de chercheurs britanniques et australiens. Rachel Warren (de l’université d’East Anglia au Royaume-Uni) et ses collègues ont pris comme point de départ les aires de répartition (ou présence) -actuelles de plus de 115 000 espèces animales et végétales terrestres, dont 31 000 insectes, 8 000 oiseaux, 1 700 mammifères, 1 800 reptiles, 1 000 amphibiens et 73 000 plantes. Soit le plus vaste échantillon mondial pris en compte dans ce type d’inventaire, dont les insectes étaient jusqu’à présent exclus.

Résultats saisissants
Ils ont ensuite fait tourner des modèles pour calculer le changement d’aire naturelle de chaque espèce, selon divers scénarios climatiques. Une hausse des températures réduit plus ou moins fortement la zone géographique où une plante ou un animal donné bénéficie de conditions adaptées à son cycle biologique.

Les résultats sont saisissants. Si les émissions mondiales de gaz à effet de serre se poursuivaient à leur rythme actuel, amenant à un bond de 4,5 °C à la fin du siècle par rapport aux niveaux préindustriels, vers 1850, les règnes animal et végétal verraient leur territoire naturel fondre comme peau de chagrin. Il régresserait de plus de moitié pour les deux tiers des insectes et des plantes, et pour plus de 40 % des mammifères.

Avec les baisses d’émissions auxquelles se sont engagés les Etats avant l’accord de Paris de 2015, qui mettraient la planète sur une trajectoire de réchauffement d’un peu plus de 3 °C, les dommages seraient moindres mais resteraient massifs : 49 % des insectes, 44 % des plantes et 26 % des animaux vertébrés (mammifères, oiseaux, reptiles…) perdraient plus de la moitié de leur aire de vie.

Si les termes de l’accord de Paris qui vise à limiter la montée de la colonne de mercure à 2 °C, et si possible 1,5 °C, étaient respectés, la proportion d’espèces privées de plus de 50 % de leur territoire tombe à 18 % pour les insectes, 16 % pour les plantes et 8 % pour les vertébrés avec + 2 °C. Avec seulement + 1,5 °C, elle chute à 6 % pour les insectes, 8 % pour les plantes et 4 % pour les vertébrés. Un simple demi-degré en moins fait donc une très grande différence pour le monde du vivant. Il divise le risque par deux pour les plantes et les animaux vertébrés, et par trois pour les insectes.  » Ces derniers sont plus exposés qu’aucun autre groupe animal à une perte d’aire de répartition, et ils ont le plus grand bénéfice à tirer d’un réchauffement contenu à 1,5 °C plutôt que 2 °C « , écrivent les auteurs.  » Les insectes sont vitaux pour les écosystèmes et pour les humains, souligne Rachel Warren. Ils pollinisent les cultures et les fleurs, ils nourrissent les organismes de niveau supérieur, ils aident à recycler les nutriments dans le sol.  »

Nombre d’espèces, notamment parmi les mammifères, les oiseaux et les papillons, ont la capacité de migrer pour retrouver les conditions de vie auxquelles elles sont acclimatées. Les chercheurs ont intégré à leurs modèles cette faculté de dispersion. Grâce à cette mobilité, un petit nombre d’espèces pourrait même tirer bénéfice d’un climat plus chaud, en colonisant de nouveaux domaines. Mais, notent les auteurs, la plupart des invertébrés, des reptiles, des amphibiens et des plantes ne sont pas en mesure de se délocaliser aussi vite que le thermomètre grimpe. Si bien que la contraction de leur espace vital les met en danger de disparition.  » Limiter le réchauffement à 1,5 °C réduit le risque d’extinction  » de ces populations, souligne l’étude.

Reste que faute d’une baisse drastique des émissions de gaz à effet de serre, l’objectif de 1,5 °C semble aujourd’hui irréaliste. L’avenir s’annonce donc sombre pour la biodiversité, qui est aussi mise à mal par la destruction des habitats naturels : déforestation, agriculture intensive, urbanisation, chasse, braconnage, ainsi que par la pollution généralisée des écosystèmes.

Une autre étude, publiée elle aussi dans la revue Science, sonne l’alarme à cet égard. Elle fait apparaître qu’à l’échelle du globe, un tiers des aires protégées, pourtant censées constituer des havres pour la faune et la flore sauvages, sont en réalité fortement affectées par les activités humaines. Certes, note l’équipe internationale (Australie, Canada, Etats-Unis) qui a mené ce travail, depuis le Sommet de la Terre de Rio, en 1992, la superficie des zones consacrées à la préservation de la nature a presque doublé. Elle atteint désormais près de 19 millions de kilomètres carrés (les aires de moins de 5 km2 ne sont pas comptabilisées), soit presque 15 % de la surface terrestre. Mais 32,8 % de ces enclaves sont soumises à une  » pression humaine intense « , qu’il s’agisse de constructions, d’agriculture, de pâturage, d’occupation humaine, de routes, de chemins de fer, de voies navigables ou d’éclairage nocturne.

Exempts d’empreintes humaines
Les aires naturelles les plus  » anthropisées  » sont situées en Europe de l’Ouest, en Asie du Sud-Est et en Afrique subsaharienne. Mais tous les biotopes sont affectés, des mangroves aux forêts tempérées en passant par la toundra, la savane et les forêts tropicales humides. Seuls 10 % de ces espaces sont totalement exempts d’empreinte humaine, pour l’essentiel dans des régions reculées de hautes latitudes, en Russie ou au Canada.

Les scientifiques n’en déduisent évidemment pas que les Etats doivent renoncer au principe même de consacrer des terres à la sauvegarde de la biodiversité, au motif qu’elle serait mal assurée.  » Un réseau d’aires protégées bien gérées est essentiel pour sauver les espèces « , commente le premier auteur de l’article, Kendall Jones (université de Queensland en Australie). D’autant que jusque dans ces ultimes refuges, les animaux et les plantes n’échapperont pas au péril climatique.

Pierre Le Hir

 

Sujets à travailler chapitre Développement durable

21 mercredi Mar 2018

Posted by Nicolas Danglade in Dissertations, Stratégies et soutenabilité du développement

≈ Poster un commentaire

  • Comment expliquer l’origine de la crise écologique ?
  • La croissance économique est-elle sans limites ?
  • La croissance économique est-elle compatible avec la préservation de l’environnement ?
  • Le développement peut-il être durable ?
  • (une question assez proche de la précédente) Faut-il croire au développement durable ?

Faire le point 20 mars 2018

21 mercredi Mar 2018

Posted by Nicolas Danglade in Stratégies et soutenabilité du développement, Uncategorized

≈ Poster un commentaire

Faire le point cours du 20 Mars 2018

Faire le point cours du 20 Mars 2018

Faire le point 19 mars 2018

20 mardi Mar 2018

Posted by Nicolas Danglade in Stratégies et soutenabilité du développement, Uncategorized

≈ Poster un commentaire

Faire le point 19 mars 2018

Faire le point 19 mars 2018

Réchauffement climatique et cycle de l’eau (Libération)

15 jeudi Mar 2018

Posted by Nicolas Danglade in Stratégies et soutenabilité du développement, Uncategorized

≈ Poster un commentaire

«Le changement climatique provoque une accélération du cycle de l’eau»

Par Aude Massiot — 14 mars 2018 à 11:55
Souppes-sur-Loing,en Seine-et-Marne, a été très durement touché par les crues en juin 2016. Photo Cyril Zannettacci pour Libération

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) ouvre, ce mardi, sa 47e session plénière à l’Unesco, à Paris. Quatre chercheurs spécialistes des incidences du changement climatique sur la planète répondent aux questions de «Libération».

  • «Le changement climatique provoque une accélération du cycle de l’eau»

Au Cap, le «Jour zéro», où les robinets devaient être coupés à cause du manque d’eau dans cette deuxième ville d’Afrique du Sud, a finalement été évité. Mais cette situation est appelée à se répéter dans les années à venir. Près d’un tiers des villes dans le monde, de plus de 233 millions d’habitants, devrait se trouver en manque d’eau d’ici à 2050, concluait une étude publiée dans la revue Nature, en janvier. Le changement climatique est directement pointé du doigt. Isabelle La Jeunesse, maîtresse de conférences en géographie au CNRS-Citeres, auteure du livre Changement climatique et le cycle de l’eau (2016) décrypte les graves conséquences que ce phénomène mondial a déjà sur l’or bleu.

Comment le cycle de l’eau est-il affecté par le changement climatique ?

Le cycle de l’eau est composé de quatre étapes : l’évaporation, la saturation, la condensation et les précipitations. Et, comme c’est un cycle, chacune dépend de l’évaporation. Seulement, plus il fait chaud, plus la capacité de l’air à contenir de l’eau augmente. Les masses d’air se formant, se reformant et se déplaçant rapidement, ce n’est pas parce qu’il y a plus d’évaporation dans un endroit donné qu’il y aura plus de pluie à ce même endroit. De manière globale, le changement climatique provoque une accélération du cycle de l’eau. Le plus difficile aujourd’hui est de calculer l’ampleur de cette accélération. Il est aussi compliqué de prévoir les disparités régionales. A cela s’ajoute la dimension des saisons : certains endroits verront plus de précipitations sur l’année mais pourront subir des manques d’eau pendant l’été et des inondations à d’autres périodes.

A lire aussiLe premier épisode de la série «Climat : quand la science parle» : «Les invasions biologiques sont la deuxième cause d’extinction des espèces»

Quelles seront les régions les plus touchées ?

L’Afrique et l’Asie concentrent l’explosion démographique des prochaines décennies. D’ici à 2025, ces continents pourraient concentrer 80 % de la population mondiale. Ce sont en même temps ces régions qui devraient avoir les tensions sur l’eau les plus exacerbées. Il y a aussi le sud de l’Australie qui s’aridifie, ainsi que les Etats-Unis qui sont en état de stress hydrique permanent. Ce dernier pays connaît des crises sévères et la situation devrait empirer. Mais le changement climatique n’est pas le seul facteur. La demande en eau joue aussi un grand rôle dans l’augmentation des tensions sur cette ressource. La consommation domestique moyenne d’un Américain est de 295 litres par habitant par jour, quand la moyenne française se situe autour de 120 litres.

Dans vos recherches, vous parlez de «hotspots climatiques». De quoi s’agit-il ?

Ce sont des régions qui concentrent les impacts du changement climatique. Par exemple, le bassin méditerranéen est un de ces hotspots. Depuis 1970, les températures moyennes de la région ont augmenté de 2°C, selon le Giec [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat]. D’ici à la fin du siècle, on devrait y observer une hausse de 2,2°C à 5,1°C des températures de l’air, par rapport à la période 1980-1990. Avec, en l’état actuel de l’évolution des rejets en gaz à effet de serre, une forte probabilité pour que ce soit le haut de la fourchette qui se réalise. En même temps, les précipitations devraient diminuer de 4 % à 27 %. C’est une certitude scientifique : la Méditerranée est dans un processus d’accentuation de son aridité. En parallèle, l’Europe devrait, elle aussi, se «méditerranéiser» en termes climatiques. Par «méditerranéisation de l’Europe», on entend que la progression du climat méditerranéen vers le nord va s’accélérer au cours du siècle pour toucher une plus grande partie du territoire européen. Une alternance entre inondations et sécheresses est à prévoir sur des périodes très courtes. Bien évidemment, il fera aussi plus chaud avec l’arrivée de vagues de chaleur telles que celle survenue en 2003.

Le nord-ouest de l’Europe va-t-il aussi se «méditerranéiser» ?

Dans cette région, c’est-à-dire au-dessus de la Loire et jusqu’à Copenhague, à l’est, la région va rester très arrosée mais les précipitations seront davantage concentrées sur les périodes hivernales. Elles seront aussi plus intenses. En plus, les capacités des nappes phréatiques étant limitées, les pays sont obligés de se reposer sur les eaux de rivières qui vont, elles, diminuer en périodes estivales — notamment à cause de la hausse des températures et de l’évaporation. Nous aurons donc des basses eaux plus sévères, dites «étiages», dans les rivières, l’été. La compétition entre l’irrigation et les besoins en eau potable va s’exacerber. En Belgique, par exemple, contrairement à ce qu’on pourrait penser, le pays est dit en stress hydrique de façon récurrente. Il pleut souvent mais peu, et les ressources en eau ne peuvent pas forcément répondre à une nouvelle demande. Le territoire concentre une forte densité de population, la pression est donc forte sur la ressource. On peut se demander si, à moyen terme, les cultures belges ne vont pas avoir besoin d’être irriguées.

Va-t-on voir dans le futur une multiplication et une intensification des événements extrêmes liés à l’eau ?

Oui, on sait que le changement climatique va provoquer plus d’événements extrêmes. Il y aura une recrudescence des pénuries et des excès d’eau, comme les inondations. Ces deux situations posent problème pour l’accès à l’eau potable car les infrastructures de traitement sont souvent dans des zones inondables. Les réseaux d’assainissement débordent en cas de grosses pluies. Les stations d’épuration et de potabilisation sont souvent obligées de s’arrêter. En juin 2016, lors des crues qui ont eu lieu dans le centre de la France, certaines communes ont dû distribuer des bouteilles d’eau pour les habitants. L’eau du robinet n’était plus potable. Dans la Méditerranée, il y aura plus d’épisodes de précipitations très violents, concentrés dans le temps. Ces inondations éclairs sont très localisées et difficiles à prévoir. Cela s’explique par le fait que quand il fait plus chaud, on rajoute de l’énergie au système. Et quand les masses d’air chaud arrivent en altitude dans un espace plus froid, la condensation est brutale et les pluies aussi.

La qualité de l’eau potable risque-t-elle d’être affectée globalement ?

Oui, on devrait observer plus de crises à cause des problèmes de qualité de l’eau. Avec la hausse des températures, les cours d’eau vont voir leur niveau baisser pendant certaines saisons, à cause de l’évaporation. Moins il y a d’eau, plus les polluants présents sont concentrés. De plus, quand le liquide est plus chaud, il stocke moins d’oxygène. Cela provoque des problèmes dans les écosystèmes. On voit des phénomènes d’eutrophisation, c’est-à-dire une concentration plus importante de nitrates et de phosphates, et le développement d’algues qui peuvent être phytotoxiques. Ces algues posent aussi problème aux filtres dans les réseaux d’adduction d’eau. Dans certaines régions agricoles, les rejets de nitrates et de phosphates par l’agriculture intensive ont déjà commencé à provoquer des teneurs à surveiller de plusieurs molécules dans les nappes phréatiques et dans les eaux de surface. Le réchauffement climatique devrait aggraver cette situation. Or, plus l’eau est polluée et plus elle est chère à traiter pour la potabiliser.

Ces éléments dangereux vont-ils dans l’eau de notre robinet ?

Nous buvons tous les jours des pesticides, des œstrogènes, des résidus médicamenteux. L’eau de nos robinets n’est pas pure mais les quantités de ces produits consommés au quotidien ne sont pas dangereuses pour notre santé sur le court ou le long terme, c’est pourquoi elle est potable. Le risque est que l’eau de ruissellement, lors d’inondations par exemple, rentre dans nos circuits d’eau potable qui peuvent, lorsqu’ils sont submergés, révéler quelques défauts d’étanchéité. Le réchauffement climatique va indéniablement mettre à mal la qualité de notre eau.

La montée du niveau des océans peut-elle affecter l’eau potable ?

Il y a un risque avéré d’infiltration des eaux de mer dans les aquifères côtiers et ce, notamment si on exploite la ressource. Cela a déjà commencé dans l’Hérault, par exemple. Certains points de prélèvement ont dû être fermés il y a plusieurs années à cause de cela. Depuis, le département doit importer de l’eau du Rhône et la traiter. Mais ce traitement coûte cher. Les syndicats d’eau ont déjà proposé, comme beaucoup d’autres, de dessaler l’eau de mer, car cela leur reviendrait moins cher. Mais l’option n’a pas été retenue en raison des risques d’impacts environnementaux.

Les organismes publics ont-ils commencé à s’adapter à ces risques ?

Aujourd’hui, pour tout gestionnaire d’eau, le changement climatique doit automatiquement être pris en compte dans la réflexion. Mais l’anticipation est compliquée car l’évolution de la ressource en eau n’est pas linéaire, contrairement à l’augmentation progressive des températures provoquée par le changement climatique et l’élévation du niveau des mers. Reste que l’usage prioritaire de l’eau sera toujours celui nécessaire à la vie humaine. On peut tenir un mois sans manger, on ne tient pas deux jours sans boire.

Retrouvez jeudi l’interview d’Alice Baillat, chercheuse à l’observatoire Défense et climat de l’Institut des relations internationales et stratégiques (Iris), dans le troisième volet de la série «Climat : quand la science parle».

Aude Massiot

← Articles Précédents

Souscrire

  • Articles (RSS)
  • Commentaires (RSS)

Archives

  • juin 2020
  • mai 2020
  • avril 2020
  • mars 2020
  • février 2020
  • janvier 2020
  • décembre 2019
  • novembre 2019
  • octobre 2019
  • septembre 2019
  • août 2019
  • juin 2019
  • mai 2019
  • avril 2019
  • mars 2019
  • février 2019
  • janvier 2019
  • décembre 2018
  • novembre 2018
  • octobre 2018
  • septembre 2018
  • juin 2018
  • mai 2018
  • avril 2018
  • mars 2018
  • février 2018
  • janvier 2018
  • décembre 2017
  • novembre 2017
  • octobre 2017
  • septembre 2017
  • août 2017
  • juillet 2017
  • juin 2017
  • mai 2017
  • avril 2017
  • mars 2017
  • février 2017
  • janvier 2017
  • décembre 2016
  • novembre 2016
  • octobre 2016
  • septembre 2016
  • août 2016
  • juillet 2016
  • juin 2016
  • mai 2016
  • avril 2016
  • mars 2016
  • février 2016
  • janvier 2016
  • décembre 2015
  • novembre 2015
  • octobre 2015
  • septembre 2015
  • août 2015
  • juillet 2015
  • juin 2015
  • mai 2015

Catégories

  • A lire ou voir sur internet
    • Articles en vrac
    • Sites internets à consulter régulièrement
  • Cours ECE 1 (2017-2018)
    • Module 1 Les fondements de l'économie et de la sociologie
      • Partie 1 Les fondements de l'économie
        • Le financement de l'économie
        • Les acteurs et les grandes fonctions de l'économie
        • Les grands courants de l'analyse économique depuis le 16ième siècle
      • Partie 2 Les fondements de la sociologie
        • Les grands courants de l'analyse sociologique depuis le 19ième siècle
        • Objets et méthodes
      • Partie 3 Entreprise et organisation
        • Analyse économique de l'entreprise
        • Eléments de sociologie des organisations
        • Les transformations de l'entreprise depuis le 19ième siècle
    • Module 2 Croissance et développement du 19ième siècle à nos jours
      • Partie 1 Croissance et fluctuations depuis le 19ième siècle
        • Fluctuations et crises économiques
        • La croissance économique
      • Partie 2 Les transformations des structures économiques, sociales et démographiques depuis le 19ième siècle
        • Les transformations démographiques
        • Les transformations de la structure sociale
        • Les transformations des structures économiques et financières
      • Partie 3 Economie et sociologie du développement
        • Economie et sociologie des institutions et du développement
        • Les inégalités de développement
        • Stratégies et soutenabilité du développement
  • Cours ECE 2 (2016-2017)
    • Module 3 "La mondialisation économique et financière"
      • Partie 1. La dynamique de la mondialisation
        • 1. L'ouverture des économies depuis le 19ième siècle : évolution et acteurs
        • 2. L'analyse économique des échanges internationaux
        • 3. Régionalisation, gouvernance et régulations internationales
      • Partie 2. La dynamique de la mondialisation financière
        • 1. La balance des paiements, taux de change et systèmes de change
        • 2. L'évolution du SMI depuis le 19ième siècle
        • 3. Constitution et fonctionnement du marché mondial des capitaux
      • Partie 3. L'intégration européenne
        • 1. La dynamique de la construction européenne
        • 2. L'Europe économique et monétaire
        • 3. L'Europe sociale
    • Module 4 "Déséquilibres, régulation et action publique"
      • Partie 1. Les déséquilibres macroéconomiques et financiers
        • 1. Inflation et déflation
        • 2. Le chômage : évolution et analyses
        • 3. Les crises financières et leur régulation
      • Partie 2. Les politiques économiques
        • 1. Allocation des ressources et réglementation des marchés
        • 2. Les politiques de régulation du cycle économique
        • 3. Les politiques structurelles
      • Partie 3. Les politiques sociales
        • 1. Justice sociale et légitimation de l'intervention publique
        • 2. Les politiques de lutte contre les inégalités
        • 3. Etat-Providence et protection sociale
  • Dissertations
  • Economie Approfondie
  • Khôlles
  • Parcours Post-Prépa
  • Plaquettes ECS 1 (2017-2018)
  • Uncategorized
  • Université du Temps Libre Marseille
  • Vie de Classe

Méta

  • Inscription
  • Connexion

Propulsé par WordPress.com.

Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies